Le Paraple 42 est disponible
Dans différentes librairies et chez Gau un Griis. Nos abonnés l'ont déjà reçu.
Nos auteurs ont écrit sur le thème : nos montagnes, unsere Berge, uus Berje :
Alois
Klees, Armand Bemer, Gérard Carau, Harald Ley, Daniel Dubourg, Gertrud
Esch, Herbert Kihm, Marlies Böhm, Peter Meiser, Patrick Schmitt, Annette
Philip, Frank Schumann, Manfred Konz, Suzanne Rouget, Jean Havel,
Manfred Mossmann, Toun, Marie Pauline Rupp, Ursula Kerber, Sabine
Göttel, Dorothee Neurohr-Gebbardt, Jean-Louis Kieffer, Nanny Lambrecht,
Christina Niem.
Mario Andruet est le peintre présenté dans ce numéro ; il est engagé contre la misère et la guerre. Donc bien dans l'air du temps.
Publié le 15/10/2022
Le PARAPLE 42 dans la Saarbrücker Zeidung
Le Paraple, notre revue littéraire trilingue, ne paraîtra plus qu'une fois par an.
Publié le 15/10/2022
PARAPLE Nummer 40 = 20 Johren
40 Nummern schon ... Merci an us Autoren on us Gérard CARAU fo sein langjährige Ärwet.
40 Numéros déjà ... Merci à nos auteurs et à Gérard CARAU pour son immense travail de mise en page
Lo bei de "Kuwerture" on danoo de Vorwort . Joint l'avant propos .
La revue littéraire trilingue de l’Association Gau un Griis vient de franchir le seuil de ses vingt ans d’existence. Depuis vingt ans en effet elle donne la parole à nos écrivains et artistes locaux qu’ils écrivent en français, en allemand ou dans les différentes nuances de notre langue régionale, le francique (platt). Le thème principal de ce numéro est « les voisins, die Nachbarn, de Noopern ». 15 auteurs s’y sont attelé et ont produit une quarantaine de poèmes et textes dont la majorité en francique, de Thionville à Bitche en passant par Saint-Avold et du Hunsrück au Palatinat en passant par la Sarre. Cédric Venner, jeune photographe amateur de Bouzonville illustre la revue de ses images souvent des mains et des visages « capturés » à l’improviste.
Publié le 01/08/2021
PARAPLE 39- pour vous faire patienter.
Nous avons toutes et tous entendu maintes fois la locution: „Cela m’étonne! /Cela m’étonnerait!“ ou bien son contraire: „Cela ne m‘étonne pas (de lui/d’elle)“! selon qu’on est positivement surpris par une personne ou un événement ou alors négativement confirmé dans ses attentes ou craintes. Bien sûr, il y a beaucoup de nuances entre positif et négatif. Comme toujours, c’est le ton qui fait la musique.
„Nos“ auteur(e)s se sont étonné(e)s de beaucoup de choses auxquelles on n’aurait peut-être pas pensé spontanément. Haro Ley p. ex. prend son ami Léo Ferré comme témoin pour assurer que le temps ne laisse pas le temps à l’amour. Ce qui peut être surprenant également c’est la fin de vie de certains de nos contemporains, toujours selon Haro. D’ailleurs, le virus nous a tous surpris et produit une troupe „bête et méchante“ de „penseurs de travers“ (Querdenker). Jean Havel, lui, s’étonne que le platt en Lorraine se défend toujours – grâce, entre autre, à „Paraple“. Toun, sculpteur, conteur et dessinateur célèbre, surprend, cette fois-ci, le lecteur par la malice avec laquelle „son“ curé manipule le choix d’un nouveau bedeau dans la bonne direction. Et notre ami Harro Wilhelm, décédé au milieu de l’année 2020, grand jardinier devant l’éternel, nous a laissé un testament où il n’est pas tendre avec l’homme devant sa responsabilité envers l’environnement…
Rainer Anton, ancien professeur des écoles, nous a collecté, dans son dialecte de Oppen (commune de Beckingen), ses expériences et „sagesses“ de jardinier amateur. On trouve dans son texte des expressions en platt qui valent la peine d’être retenues. Gare aux voisins…
Alois Klees, lui aussi, s’intéresse intensément au village qu’il habite depuis plus de 70 ans: Wustweiler, commune de Illingen. Il a reconstruit consciencieusement, dans son francique entre le rhénan et le mosellan, l’histoire de „sa“ rue, la Heinrichstróós. C’est, bien sûr, devenu un document historio-sociologique où beaucoup de Sarrois ruraux (ou même Lorrains) devraient se reconnaître. Ça s’approche d‘une littérature documentaire…
Toujours délicieux les petits contes, réalistes et fantastiques à la fois, d’Annette Philipp dans son dialecte forbachois si savoureux. Elle non plus ne peut éviter le virus qui fait ses ravages des deux côtés de la frontière. Qu’est-ce que le Paraple serait sans elle et son humour!
Nous avons à déplorer la mort de notre ami Lucien Schmitthäusler, survenue en avril dernier. Paraple et toute la communauté des auteurs dialectophones de la région vont lui consacrer un numéro spécial qui paraîtra prochainement.
Nous proposons comme thème pour le numéro 40: Voisinage/Nachbarschaft/Nòòperschaft.
Toute l’équipe du Paraple vous souhaite bonne et agréable lecture du numéro 39 (dont nous vous prions d’excuser la parution retardée)!
Gérard Carau
Publié le 08/02/2021
LE PARAPLE 38 A ETE POSTE
Tout le comité de GUG espère de tout coeur que vous allez bien ainsi que votre famille.
Comme vous le savez, ici sur la frontière, nous sommes revenus 30 ans en arrière. Malgré tout, nous avons trouvé le moyen de faire parvenir les Paraple à tous.
Le Paraple 38 a été envoyé aux abonnés en début de semaine et devrait donc être arrivé dans les boîtes aux lettres. Nous espérons que nos lecteurs auront lu l'étiquette sur le revers de l'enveloppe et qu'ils auront pris la précautions de se laver les mains après avoir mis l'enveloppe de côté pour 2/3 jours. Ainsi, ils auront pu sortir le Paraple qui est depuis longtemps décontaminé. Nous leurs souhaitons bonne lecture.
Nous serions heureux si nous pouvions avoir un petit mot sur " gaugriis@wanadoo.fr " nous disant qu'il est bien arrivé. Merci
Nous essayerons prochainement le mettre dans les points de vente habituel au moins sur Bouzonville.
Portez vous bien et protégez vous.
Publié le 10/05/2020
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Dénschdach, 15 Oktober 2024
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"Beim Heiraten muss ma de Aen zoumachen; se ginn später von selwer op."