Gau un Griis
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Oui, je parle Platt !
Yo, Eich schwätze Platt !
Oui, je parle Platt !
Yo, Eich schwätze Platt !
Oui, je parle Platt !
Yo, Eich schwätze Platt !
Oui, je parle Platt !
Yo, Eich schwätze Platt !
Oui, je parle Platt !
Yo, Eich schwätze Platt !
                   

Us Schrifftsteller off Youtub

 Si vous allez sur Youtube et marquez Gérard Carau et vous devriez tomber sur ses lectures, filmés par Franz Dietrich. Et vous y verrez aussi Ursula Kerber , Karine Klee et d'autres qui font partis du "Bosener Gruppe" mais aussi de Gau un Griis. Chacun écrit et lit ses textes dans la langue qui est la leur et notre platt à tous .

Ci-dessous un lien que vous pouvez copier et insérer dans le moteur de recherche.

https://youtu.be/y88Yi-n9Juc 

Publié le 11/10/2020

Corona Toujours à la une !

 Gérard Carau écrit dans la Saabrécker Zeidung et revient sur les résultantes de la pandémie actuelle.

Publié le 29/06/2020

La Saarzeidung parle de GuG

 Tout est dit :

Publié le 27/02/2020

Colonne de Gérard Carau dans la Saarbrücker Zeitung

 Gérard Carau vient de publier dans la Saarbrückerr Zeitung sa dernière chronique en platt mosellan qui traite de ses souvenirs de jeunesse entre la Sarre et la Lorraine en passant par le pays de la Nied.

C'est aussi un hommage à Clément Kieffer.

Publié le 09/08/2017

Suite à la Manifestation du 24 octobre

 A l’appel de la Fédération pour le Lothringer Platt,

150 manifestants réclament la ratification par la France de la Charte des Langues régionales.

Samedi 24 octobre, 150 personnes se sont rassemblées devant la Préfecture de Moselle dans la cadre de la journée nationale des langues de France, pour demander que la France ratifie enfin la Charte des langues régionales et minoritaires qu’elle a par ailleurs déjà signée.  
La situation de la Lorraine, région dans laquelle la langue francique (ou Lothringer Platt) est parlée dans toutes ses variantes depuis 1500 ans (Luxembourgeois, Mosellan, Rhénan) doit inciter l’ensemble des décideurs à une prise en compte et un soutien réel, actif et dans toutes les sphères de la société, de cette plus-value exceptionnelle.
Le francique est en effet l’une des langues de France les plus utilisées, en usage dans les relations de travail et dans les échanges quotidiens entre les habitants. Elle est parlée en Moselle, mais également au Luxembourg (où elle est langue officielle), en Allemagne (Sarre, Rhénanie-Palatinat, Rhénanie du Nord –Westphalie, Hesse) et en Belgique (Communauté allemande et pays d’Arlon). Le nombre de locuteurs est estimé à 3 millions.
Aujourd’hui, cette langue est toujours en quête de reconnaissance par les autorités politiques et publiques. Ignoré par les uns, dénigré par les autres, quasi assimilé à l’allemand par l’Education Nationale, très rarement soutenu, le francique est pourtant loin d’être un simple élément patrimonial -qui mériterait de fait et par sa seule présence depuis plus de 1500 ans dans notre région, un soutien sans équivoque de la part de l’ensemble des élus-, le francique est également un outil du développement transfrontalier de notre région.
L’actuel président de région se gausse de paroles et reste très économe en actes. Sa volonté de réduire le francique à une langue de proximité, de territoire (un patois de cul-terreux ?), révèle un horizon politique restreint ignorant que la Grande région pourrait s’appuyer sur l’unité linguistique qu’est le francique.
Que dire du mépris du premier représentant de la république qu’est le Préfet qui refuse de recevoir une délégation de représentants de la fédération pour le Lothringer Platt et qui ne trouve rien de mieux à faire le jour du rassemblement que de se poser en badaud pour observer les manifestants (à distance, comme au zoo ?)
Que penser de tous ces élus silencieux, bien trop nombreux, qui ne mesurent pas l’intérêt à promouvoir une langue bien vivante du point de vue social, culturel, artistique, voire économique  au regard des nombreux travailleurs frontaliers qui la parlent quotidiennement.
Depuis plus de 30 ans, les associations membres de la Fédération cherchent à créer un dialogue constructif, revendiquant le multilinguisme dans le respect de l’ensemble des langues présentes sur notre territoire.Cette ratification est plus que jamais nécessaire et donnera à la Lorraine les moyens de défendre enfin et pleinement la langue francique présente sur son territoire.
Nous attendons la mise en place d’une véritable politique linguistique dans notre Région qui soutienne toutes les initiatives en faveur de la transmission de la langue francique aux plus jeunes, formule des propositions concrètes de coopérations avec nos partenaires de la Grande Région et permette au Lothringer Platt de trouver enfin la place qu’il mérite.

Publié le 27/10/2015

 
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